Toujours inspiré des travaux de Dr Donald Epstein, nous continuons de regarder ensemble notre énergie et nos différents niveaux d’énergie et surtout, comment identifier si nous en avons assez ou si nous en manquons.
Celui qui veut survivre apparaît dès la conception et c’est la force de vie qui est présente dans tous les êtres vivants. S’il y a des situations qui surviennent pendant la grossesse parfois le fœtus développe des stratégies de survie qui sont super développées et puissantes. Cependant, survivre ne mène pas nécessairement à une vie remplie de créativité, d’abondance, de joie ou de bonheur.
Quant à lui, celui qui réagit se développe vers la fin de la grossesse et dans l’enfance. Un enfant pleurera parce qu’on lui enlève son jouet et 1 minute plus tard, tout cet événement a disparu et n’existe plus. Il y a eu réaction et il y avait également assez d’énergie dans le système pour que l’émotion fasse le travail nécessaire.
Puis, vient s’ajouter une nouvelle forme d’énergie ou d’intelligence; le penseur. Plus le penseur a d’énergie, meilleures sont nos pensées. L’énergie vient alimenter la qualité de l’information et notre réalité change. De la même façon, si nous n’avons pas assez d’énergie, nous faisons face à la même réalité.
Avez-vous déjà été pris dans une situation particulière où vous ne voyiez pas le bout ou de solutions? C’est une situation typique où vous n’aviez pas assez d’énergie. Puis, au milieu de la nuit, vous vous réveillez et vous avez un « eurêka » ou quelqu’un vous dit quelque chose et voilà, vous avez la solution. Une source d’énergie est venue nourrir ou alimenter le penseur.
Un des rôles essentiels du penseur est de s’assurer d’avoir l’amour et le support des gens près de la personne. Le penseur analyse comment il doit se comporter pour être aimé et accepté. Il apprend à plaire, à ne pas déplaire, à faire les bonnes affaires, à avoir les bons comportements pour être accepté. Cette phase est essentielle. Si le penseur ne réussit pas à adhérer ou à joindre la culture, il sera rejeté, ostracisé, battu ou même pire.
Nous devons réaliser qu’une culture est un culte qui est accepté par la majorité. Si tout le monde a le même culte alors c’est une culture. Vous connaissez des rites de passage dans certaines cultures étrangères qui nous font sursauter mais qui sont tout à fait normal pour ces gens-là? Pensons aux tribus qui font l’excision du clitoris chez les jeunes filles ou celles dont l’ancienne habitude est de casser les pieds et les bander pour éviter qu’ils se développent. Pour notre culture c’est un culte, pour leur culture c’est normal et à leurs yeux, c’est nous qui avons un culte de ne pas faire comme eux.
Le penseur nous aide à établir ce qui est bon ou mauvais, vrai ou faux. Si j’ai tel comportement, je serai récompensé et si j’ai tel autre comportement, je serai puni. C’est ce conditionnement culturel qui nous influencera toute notre vie. Par exemple, vous avez été élevé dans une culture très religieuse (peu importe la religion) et bien, vous serez influencé soit à suivre les mêmes règles religieuses soit à faire le contraire à n’en rien vouloir savoir.
Si je pousse ma réflexion un peu plus loin en admettant que j’ai de la difficulté à me comporter selon une certaine culture disons à l’école par exemple et bien, je me ferai une culture à moi avec d’autres gens qui ont des difficultés aussi à se joindre à la culture principale. Nous aurons alors une nouvelle culture à côté de la culture générale.
Le contenu de ce texte est inspiré des travaux de Dr Donald Epstein.
P.S. : S’il-vous-plaît, j’aimerais recevoir vos suggestions pour les prochains articles car je considère que vous êtes les premiers et les premières concernés en matière de santé et de guérison. Donnez-nous vos idées par écrit avec vos noms et numéro de téléphone (si nous avons des précisions à demander) soit en les remettant à la clinique ou en les envoyant par courriel à info@chironetwork.com. Merci beaucoup.
Dr Pierre Bernier, chiropraticien, D.C. 10 05 2021
Tous droits réservés et ne peut être reproduit que dans son intégralité.