Aujourd’hui, nous regarderons ensemble une activité qui a bien démontré son efficacité à améliorer la qualité de vie de ceux qui la pratique c’est-à-dire la méditation ou encore la prière. Je ne peux pas vraiment faire la part des choses entre les deux et je vous laisse l’opportunité du choix.
Une grande partie de la méditation est associée à l’observation de notre respiration. Lorsque notre respiration est rapide, notre Ph sanguin (taux d’acidité) s’élève et nous sommes en situation de stress. Lorsque ma respiration devient courte et accélérée cela signifie qu’une partie de mon système nerveux a l’impression d’être en danger. Dès lors, ma respiration s’accélérera. Si je respire ainsi depuis 8 ans, cela ne se changera pas tout d’un coup.
Lorsque notre Ph est élevé, il est facile pour notre corps de créer de l’inflammation inutilement. Une façon simple de remettre notre Ph à un meilleur niveau est de respirer profondément et lentement comme pendant une méditation. Lorsque nous méditons, nous laissons l’état de combattre et de se sauver par un état de relaxation et de digestion. Lorsque nous laissons notre état de défense ou de survie, nous sommes capables de faire de meilleur choix. Est-ce que je reprends un autre verre de vin, un autre dessert ? Est-ce je reste en colère parce que quelqu’un m’a coupé dans la circulation avant-hier ? Est-ce que je peux démontrer de la compassion ou si, ce qui compte c’est ma petite affaire ?
On peut méditer n’importe où dans n’importe quelle circonstance pour la période de temps qui nous semble bonne. Pas besoin d’équipement sophistiqué ou de professionnel pour nous guider. On s’assoit et on respire lentement, profondément et consciemment.
Toutes les formes de méditation ont leurs utilités et efficacités. La plupart des recherches sur la méditation ont été effectuées avec la méditation transcendantale mais, cela ne veut pas dire que les autres types sont moins efficaces.
Nous n’avons pas besoin d’avoir de raison pour méditer. La méditation n’est pas une compétition et ce, même avec vous-même. Ce n’est qu’un moment d’arrêt que nous nous imposons une ou deux fois par jour pour prendre du temps pour soi, se retrouver, être avec nous-mêmes et pour juste être, sans objectif, sans raison, sans but.
Ouf ! Tout un « stretch » pour moi et pour plusieurs cependant, les bénéfices peuvent être extraordinaires. Si vous vous dites que vous ne pouvez pas méditer, c’est une raison de plus de le faire. Que puis-je faire ou être pour me retrouver dans cet espace où j’existe, où je me sens moi-même, où ce qui compte est le moment présent, où je peux faire une pause de mes nombreuses activités et obligations ?
Tout comme nous faisons de l’exercice, brossons nos dents, recevons des entraînements Network, nous voulons faire aussi quelque chose pour notre cerveau. Si méditer vous semble un peu égoïste, dites-vous bien qu’il n’en est rien tout au contraire. Lorsque nous méditons et que nous transportons cet état avec nous, nous influençons les autres de façon positive et constructive.
Nous, les êtres humains, sommes des animaux grégaires c’est-à-dire que nous sommes programmés pour vivre en petits groupes. Nous avons, en tant qu’animal, des neurones (neurones miroirs) précisément conçus pour nous permettre de lire et de comprendre les gens qui nous entourent. Si nous reflétons l’agitation, le chaos, la turbulence, les gens ressentiront cet état et cela les influencera. Si nous reflétons le calme, la sérénité, la paix, les gens le ressentiront et cela les influencera. C’est un choix.
Il y a maintenant une foule d’outils gratuits sur Internet pour vous aider à commencer votre cheminement dans cette pratique merveilleuse et facile